Connaître les autres, c'est sagesse.
Se connaître soi-même, c'est sagesse supérieure.
Imposer sa volonté aux autres, c'est force.
Se l'imposer à soi-même, c'est force supérieure.

Laotsé.

Photos de famille

 

Anciennes photos de famille, photos des dernières vacances et des réunions de famille.

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Villes et villages de l'enfance

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 La ferme.
Un colline ronde, des près qui verdissent, des murs blancs et des tuiles rouges, puis au premier plan le verger, voilà mon enfance.

 

 

 

 

 Dès le mois d'avril, on prenait ses quartiers d'été. Ce qui frappait beaucoup d'étrangers, c'était d'abord une impression de vacances. Cela tenait au rayonnement du ciel, à la splendeur de la mer, à l'explosion des jardins, aurutilement des marchés et au comportement des gens.

 

Une oasis, ville - jardin du désert.Le temps y passe sans modifier le paysage ni les coutumes, ni les costumes. Ils sont le fait du climat, de la solitude, de l'éloignement. Des palmes par-dessus les murs en torchis, et des ruelles de sables qui étouffent le bruit des pas. On n'y entend que les voix, le vent, le bruit de l'eau. Le sahara impose à l'homme sa pureté et sa grandeur....

 

 

 

 

 

 Albert Camus.

Dans le fracas, la fureur, le sang où a sombré l'Algérie, sa voix s'efforça de dominer les cris des passions pour adjurer les " siens " d' " éviter au moins l'irréparable : l'assassinat des innocents ". Mais la roue d'une guerre inexpiable, qu'il considéra toujours comme une guerre civile était en marche.
Camus, prix Nobel de Littérature en 1957, mourut dans un accident d'auto, sur la route de Sens à Paris, le 4 janvier 1960. Il avait quarante six ans.

 

Oran, cité vivante, fringante, ouverte superbement sur la mer, avec ses plages à n'en plus finir et son port.
Les musulmans Andalous fondèrent la ville en 903, elle s'appelait alors, Ouahran, et elle a grandi, car " elle était espagnole ", comme le dit la chanson...
En fait, espagnole, Oran l'est restée, dans ses goûts de noctambule. On s'y couchait plus tard qu'ailleurs en Algérie. On y aimait le bel canto, le théatre, la boxe, le vélo, les corridas et les stades.
Oran avait ses arènes, ses " férias ", ses pétarades, ses corsos fleuris et un carnaval célèbre dans toute l'Afrique du Nord, où les rues appartenaient pendant trois jours entiers aux travestis et aux chars fleuris.
Autre fête célèbre : la " Noche Buena ", réveillon de Noël sans la neige, mais avec des concerts de " zambomba ", ( tambour que l'on fait vibrer au moyen d'une tige d'osier mouillée que l'on frotte avec la paume de la main ) et qui se terminait invariablement par une soupe gratinée à l'oignon et par la consommation de Tallos ( gros beignets en forme de serpentin ).

 

 

 

 Une ruelle au printemps descendant vers la mer.

  

 

Le jeudi de l'Ascension donnait l'occasion d'aller honorer la vierge qui chassa le choléra d'Oran. Dès trois heures du matin, les plus courageux, sac à dos et souvent le plus jeune de la famille sur les épaules, ont pris la route de la colline de Santa - Cruz. Après trois heures d'une marche rendue difficile par les aiguilles glissantes des pins de la forêt des Planteurs et les cailloux schisteux du djebel Murdjajo ; les pélerins ont atteint la plate-forme de la Basilique. Cierges, prières, vœu, ex voto puis, pique - nique en famille avec le traditionnel gâteau : la mona.

 

 

 

 

 

 

 

 Le fort de Mers - El - Kébir

 

 

 

 

 

 

 

 Sidi - bel - Abbès

 

 La rue principale et la mairie à droite.

 

 

 

 Sidi - Bel - Abbès

 

 

 

 


famille MARTINEZ en 1936
 
moi ( lunettes ), entouré de gauche à droite par mes cousins : Claude, Joseph, Marcel et Jacques.

 

 

 

 

 

 




Oasis.O


Le port d'Oran.


Colline de Santa - Cruz.



La place Carnot et le palis de justice.


Le monument aux morts.

 


famille MARTINEZ EN 1960

 

 




Côte rocheuse.


Le Mont Saint Michel borne septentrionale de la péninsule bretonne.

 

 

 

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Les alignements de Carnac.

Des millénaires après qu'elles eurent été levées, les pierres de Carnac continuent de faire échec au cartésianisme.

Devant une œuvre d'un tel gigantisme, la fascination l'emporte tout d'abord sur la soif de compréhension.

Ces alignements sont en général datés d'entre 2800 à 2300 ans avant notre ère.

 

 

 

Coiffes bretonnes.

 Écume.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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